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  • Les chroniques

La république sanitaire de l'Australie

Djokovic : une menace à la santé publique

8 janvier 2021

Dans la République sanitaire de l’Australie, le grand tournoi de tennis, l’Australia Open, doit commencer dans les prochains jours. Le numéro 1 mondial, le serbe Novak Djokovic devait y prendre part et tenter de remporter son 21e grand chelem. Un problème se pose au joueur, pour avoir la permission d’entrer sur l’île-prison il faut être vacciné contre la COVID, mais il avait obtenu une dérogation médicale en raison d’un test positif de COVID en début décembre. Mais ! Le Politburo australien a décidé que ce n’était pas suffisant finalement. Le joueur est donc emprisonné en attendant de se présenter devant la kangoroo court pour se faire renvoyer chez lui.


Un homme plutôt jeune (34 ans), un des humains les plus en santé sur la planète et donc un des moins à risque face à la COVID doit tout de même recevoir un vaccin inefficace pour pratiquer un sport, cette chose qui rappelons-le, a longtemps été interdite en Australie et est encore interdite pour les gens non vaccinés. Le sport et les bonnes habitudes de vie offrent probablement une meilleure protection que le vaccin contre la COVID, mais ce n’est pas suffisant pour les nouveaux tyrans du monde sanitaire. Qui plus est, notre ami Novak a contracté la COVID, ce qui lui donne des anticorps contrairement à une personne vaccinée ! Il est à plusieurs égards l’un des plus protégé contre la COVID, mais il n’a pas enrichi Pfizer ou Moderna, il n’est donc pas le bienvenu dans les nouveaux États-pharmaceutiques occidentaux.


Tous les régimes autoritaires ont eu un signe ou un symbole à vénérer. Que ce soit un salut, le culte d’un dirigeant, une prière forcée... Dans le régime sanitaire, c’est la vaccination qui fait office d’adhérence au régime. Que vous soyez en forme, en santé ou que vous ayez déjà contracté le virus, il faut vous faire injecter ce vaccin expérimental qui ne fonctionne pas.


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